Hadjar raconte ses débuts atypiques et sa relation détendue avec Helmut Marko

10:54, 28 avr.
Mis à jour: 13:58, 28 avr.
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Isack Hadjar a expliqué la manière unique par laquelle son parcours en sport automobile a commencé. Le Français a également parlé de sa relation avec le conseiller de Red Bull, Helmut Marko.

Isack Hadjar est revenu sur son entrée dans le sport automobile, inspirée par le film Cars, et a décrit sa relation étonnamment détendue avec Helmut Marko. Contrairement à d'autres protégés Red Bull, le Français affirme avoir partagé plus de rires que de tensions avec le conseiller autrichien.

Une vocation née devant le film Cars

Isack Hadjar a confié dans une interview à Autosport que sa passion pour le sport automobile avait démarré d'une manière inhabituelle. "C'était juste en regardant le film Cars à la maison," a-t-il révélé. "J'avais environ deux ans. Je me souviens du moment où nous avons acheté le DVD. C'est fou que je puisse me souvenir de ça !"

Dès lors, Hadjar a commencé à suivre la Formule 1 à la télévision, avant de s'engager lui-même dans la course automobile. Depuis ses débuts, le jeune Français n'a cessé de grimper, jusqu'à ses premiers pas remarqués en F1 cette saison avec Racing Bulls.

La confiance indéfectible de Marko envers Hadjar

Vice-champion de Formule 2 en 2024 après une lutte intense contre Gabriel Bortoleto, Hadjar a vu ses espoirs de titre s'envoler lors de la dernière course à Abu Dhabi, après avoir calé sur la grille. Malgré cet échec, il peut compter sur le soutien sans faille d'Helmut Marko.

"Nous avons une relation honnête et, franchement, j'ai plus ri avec lui qu'autre chose," a-t-il raconté. Contrairement à d’autres jeunes du programme Red Bull souvent confrontés à la sévérité de Marko, Hadjar assure ne jamais avoir été traité durement.

"Il n'a jamais été impoli avec moi"

Hadjar précise que les fameux coups de téléphone sévères d'après-course ne font pas partie de son expérience. "Il ne m'appelle pas du tout parfois ! Non, il n'a jamais été impoli avec moi. Même quand j'ai eu ma terrible première saison en F2, il m'a gardé dans le programme."

Le Français évoque aussi son crash lors du tour de formation en Australie, qui avait valu à Marko quelques critiques. Là encore, Hadjar minimise : "Ça ne l'intéressait pas mon crash. Ce genre de chose, ça peut arriver à n'importe qui. Il était juste comme : 'OK, on fera mieux en Chine'."