Hamilton a besoin d'une "greffe de cerveau" au milieu des difficultés chez Ferrari

14:15, 20 avr.
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Lewis Hamilton admet que ses débuts chez Ferrari sont loin des attentes. Après une qualification décevante à Djeddah, le Britannique révèle que les dirigeants de la Scuderia ne sont pas satisfaits et qu’il doit encore retrouver confiance et performance.

Pour sa deuxième course avec Ferrari, Lewis Hamilton n’a pas brillé. En Arabie Saoudite, le septuple champion du monde s’est qualifié en septième position, loin des ambitions affichées.

Interrogé par Viaplay, le Britannique n’a pas mâché ses mots. Quand on lui demande ce qu’il lui faut pour inverser la tendance, il répond sèchement : "Une greffe de cerveau."

Du temps perdu partout sur le tour

Hamilton détaille les secteurs dans lesquels il a perdu du temps : "Deux dixièmes dans le dernier secteur, trois dans le premier, un autre au milieu… C’est tout simplement pas assez bon."

Il reconnaît que son niveau n’est pas à la hauteur de celui qu’il espère, ni de celui que Ferrari attend de lui.

Une pression grandissante chez Ferrari

Le Britannique sent bien que la patience s’effrite du côté de Maranello. "Je travaille vraiment dur là-dessus. Ce n’est pas facile. Je sais que les fans ne sont pas contents. Je suis sûr que l’équipe ne l’est pas non plus. Je sais que les patrons ne le sont pas. Et je ne le suis pas davantage."

Hamilton garde toutefois espoir : "Je dois continuer à croire en moi, rester positif et continuer à travailler. C’est tout ce que je peux faire."